L’avis d’Alexandre, un lecteur de « Celle qui écrivait des poèmes au sommet des montagnes »

L’avis d’Alexandre, un lecteur de « Celle qui écrivait des poèmes au sommet des montagnes »

Hier matin, j’ai eu l’agréable surprise de tomber sur un commentaire publié sur le site web de ma maison d’édition par un lecteur dénommé Alexandre C. Le voici :

« Comment donner simplement un avis sur une oeuvre si complexe mais paradoxalement si évidente/élémentaire à comprendre, même pour un profane tel que moi, en lecture.

Un livre qui mélange développement personnel et poésie, dans un roman où l’histoire nous tiens en haleine par son intrigue, et qui jusqu’au bout nous laisse bouche-bée ! Pas de moral, ni de prêche, simplement une odyssée sur la vie humaine, avec un scénario et des péripeties.

J’emploi le mot « scénario » car j’ai retrouvé dans ce livre le même plaisir d’un bon film ! Vous savez ce genre de film qu’il ne suffit pas de regarder une fois, mais qu’il faut voir et revoir pour en mesurer l’ensemble de la sophistication de l’intrigue, parfois déboussolant, parfois pour changer de perspective.

Donc pendant ma lecture j’avais entre les mains, un livre où j’avais plaisir à faire « un aller et retour » pour en comprendre simplement ces fondements. Certains passages pouvant paraître compliqués ou abstraits mais qui prennent tout leur sens à leur relecture.

Merci à l’auteur pour ce moment de plaisir et de surprise.
Merci de m’avoir donner gout à la lecture. »
Alexandre C.

Avis de blogueuses !

Avis de blogueuses !

De-ci de-là, on continue de parler du roman « Celle qui écrivait des poèmes au sommet des montagnes » ! 🙂


Cyrielle : « J’ai beaucoup aimé ce roman qui surfe sur la vague des romans de psychologie positive. Parfois, on lit simplement le bon livre au bon moment. J’ai tant aimé parce que j’y ai trouvé de bons conseils. J’ai adoré découvrir les conférences, la playlist, les références semées tout au long du roman. C’est son gros point positif. On découvre bien plus qu’une jolie histoire en ouvrant ce livre. J’y ai recopié de nombreux passages. Le genre de livre « feel good » a lire quand on a un coup de mou dans sa vie. J’ai parfois eu l’impression que certains passages avaient été écrits pour moi, parce qu’ils traitaient de sujets qui me concernent en ce moment. J’avais l’impression d’écouter quelqu’un qui connaissait mes soucis et qui voulait m’aider. J’ai tout lu attentivement et je compte bien mettre en pratique les conseils piochés çà et là. Un très beau livre que je recommande à tous ceux qui s’intéressent à la psychologie positive. »

L’article complet sur : https://happymessfactory.com/2016/09/12/mes-dernieres-lectures-5/


Stef26 : « Marcus trouve un mystérieux message non signé sur son pare-brise : « Écoute tes émotions ». Seulement trois mots, mais qui vont être à l’origine d’un travail d’introspection et de changements qu’il n’aurait pas imaginés dans sa vie. Pour le meilleur, bien sûr, mais aussi parce qu’il va devoir affronter le pire. Roman de développement personnel, Celle qui écrivait des poèmes au sommet des montagnes réserve des surprises au lecteur en passant du bien-être à la violence, de l’écoute de soi au drame psychologique. Voici un roman original et qui se révèle petit à petit, bifurquant quand le lecteur pensait savoir à quoi s’attendre ensuite. Les notions de développement personnel sont abordées ici à travers un récit, mais le lecteur ne peut s’empêcher d’y réfléchir lui-même. Cela le confortera dans ses choix s’il est déjà passé par là ou le poussera à examiner, lui aussi, la manière dont il vit, dont il respire, dont il communique. Puis l’histoire bascule et nous pousse à réfléchir au thème du pardon et au jugement que l’on peut former concernant les actions des autres… »

L’article complet sur : http://samuserensemble.canalblog.com/archives/2016/08/07/34162085.html


Article de presse : Yoga Magazine.

Article de presse : Yoga Magazine.

Voici une critique très juste du roman « Celle qui écrivait des poèmes au sommet des montagnes », par le journal YOGA MAGAZINE.


« Écoute tes émotions ». Des mots laissés de manière anonyme à Marcus qui s’ouvre à ces paroles, tout en s’interrogeant sur leur provenance. Quel rapport avec Angelo, cet homme sage rencontré par une journée glaciale ? Et quels secrets lui cache sa mère ?

Ce premier roman – parfois un peu maladroit dans la première partie mais ô combien délicat et courageux – de Nicolas Fougerousse renferme des clés de développement personnel, notamment sur la liberté, l’amour et le pardon.

Les novices en la matière y découvriront à la fois une histoire forte et touchante, mais aussi une introduction à la diversité des pratiques et philosophies de bien-être. Quant aux lecteurs plus avertis, ils trouveront au fil de ce récit captivant des rappels toujours bienvenus pour ne pas perdre de vue le cercle vertueux dans lequel ils se sont déjà inscrits.


Plus d’infos sur : https://www.yoga-magazine.fr


article-yoga-magazine

La chronique vidéo de Nylou

La chronique vidéo de Nylou

J’adore tomber au hasard sur des sites qui parlent si bien de « Celle qui écrivait des poèmes au sommet des montages »…


Extrait : « Parce ce qu’il est facile à lire, parce qu’il m’a fait du bien, parce qu’il y est question de re-connexion, d’émotions, de yoga, d’accords Toltèques ou encore de Communication Non Violente, je vous partage ce petit trésor récemment dégoté sur un des rayonnages de mon magasin bio préféré !

Publié aux Editions Jouvence, ce premier roman de Nicolas Fougerousse met en évidence la dualité à laquelle nous sommes en permanence confrontés et nous démontre que le pardon est une des clés qui peut nous mener vers l’unicité… »


Merci Nylou pour cette vidéo !


Lire l’article complet sur :

http://lejardindenylou.com/celle-qui-ecrivait-des-poemes-au-sommet-des-montagnes-nicolas-fougerousse/#comment-10

Article de presse : ECO des Pays de Savoie

Article de presse : ECO des Pays de Savoie

Les vies de Nicolas Fougerousse : à 37 ans, Nicolas Fougerousse a déjà connu plusieurs vies : éditeur, champion d’apnée, community manager… et romancier.


Par Philippe Claret.


“J’aime bien l’image du taureau : il observe, il fonce, il s’arrête, il observe. Et il recommence. Il fonce, etc.” Nicolas Fougerousse, silhouette mince, blond aux grands yeux bleus, ne ressemble pourtant pas vraiment à un taureau. Mais c’est vrai que cette métaphore lui va bien, lui qui a cette capacité à se lancer dans des projets très différents, chaque fois avec passion, chaque fois en ayant mis toutes les chances de son côté.

La première passion, c’est sans doute l’écriture. «J’écris depuis l’âge de 17 ans, raconte-t-il. Pendant longtemps, ça a été des poèmes, que je ne montrais pas trop. Ce n’est qu’à 29 ans, en 2008, qu’est né le désir d’écrire aussi pour les autres.»

Professionnellement, Nicolas enchaîne les expériences dans l’industrie, le social, la vente, avant de monter en 2007 un premier projet personnel : une maison d’édition. «Les Éditions Alphabet de l’espace, raconte-t-il  fièrement. L’idée était de publier de la poésie, chaque fois sous la forme d’un livre et d’un DVD.» S’ensuivent de belles rencontres avec André Velter, Dominique Sampiero, Brigitte Giraud. Et de beaux projets autour de textes qu’il aime, et qu’il aime mettre en images.

Changement de cap en 2010. L’activité d’édition est arrêtée pour mieux se consacrer à une nouvelle passion : les nouvelles technologies de l’information et la communication. «C’est une continuité en fait, assure-t-il. Le monde des écrans ouvre des tas de portes mais ne ferme pas celle de l’écriture, au contraire : on n’a jamais autant écrit et lu que maintenant !»

En parallèle, le passionné de montagne et d’escalade ouvre cette même année un autre chemin intérieur en découvrant l’apnée sportive. Inscrit au club d’Aix-les-bains (apnee-savoie.com), il se fait vite remarquer. Jusqu’à décrocher une médaille de bronze au championnat de France en 2014, puis une cinquième performance mondiale l’année suivante aux championnats du monde. Sa spécialité, c’est l’apnée dynamique : la plus longue distance parcourue sous l’eau. Pour lui, c’est 220 mètres. La discipline est exigeante : six entraînements par semaine. Mais correspond chez lui à une hygiène de vie, qui lui permet d’approfondir le dialogue entre le coprs et l’esprit.

Écrire reste un  fil rouge pour Nicolas Fougerousse. De décembre 2013 à juin 2015, il prend le temps de mûrir son premier roman. Ce sera “Celle qui écrivait des poèmes au sommet des montagnes”. Publié un an plus tard aux éditions Jouvence, le livre a trouvé son public, avec 3 000 exemplaires écoulés en quelques semaines en France, Suisse et Belgique, et même la promesse d’une traduction en allemand !

L’ouvrage révèle un auteur au style déjà très sûr. Le livre, nourri des lectures de Nicolas en développement personnel et yoga, commence comme une histoire d’initiation assez classique (un trentenaire en recherche guidé par un homme de 60 ans), puis bascule dans une histoire romanesque plus inattendue. L’occasion pour l’auteur de brosser avec délicatesse quelques jolis et émouvants parcours de vie.


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