Trouvez un endroit proche d’une fenêtre, ou même mieux : dehors. Détendez-vous, respirez doucement, calmement. Au choix, parmi ces proposition suivantes :
fermez le yeux, écoutez chaque bruit, chaque son, qui parvient à vos oreilles : vous vivez le moment présent, là, maintenant.
regardez attentivement un arbre, ou des feuilles, ou un carré d’herbe, ou les nuages, ou le ciel, ou une lumière particulière : vous vivez le moment présent, là, maintenant.
les yeux ouverts, inspirez lentement, calmement, sentez l’air qui rentre dans vos narines, cette sensation de fraîcheur, imaginez une odeur plaisante, comme un bon café, votre parfum favori, ou un mets délicieux : vous vivez le moment présent, là, maintenant.
tenez-vous droit(e), les épaules détendues, concentrez-vous sur vos mains, frottez la paume de chaque main avec vos doigts, sentez la peau rouler sur la peau, écoutez le son, le frottement : vous vivez le moment présent, là, maintenant.
à table, devant votre assiette, prenez une petite quantité de nourriture avec votre fourchette, délicatement, ouvrez la bouche et prenez conscience des goûts multiples qui s’offrent à vous, prenez le temps de mâcher, de savourer, pour extraire chaque sensation : vous vivez le moment présent, là, maintenant.
Prenez une feuille de papier et un stylo. Écrivez et créez une phrase, ni trop courte ni trop longue, avec au choix les couples de mots suivants :
« vie » et « souffle »
« cardiaque » et « rêve »
« lumière » et « sang »
Par exemple, je choisis les mots « lumière » et « sang ». Voici ma phrase :
« Il y a une lumière imprimée sur ta rétine, comme de la caféine qui coulerait dan ton sang :
c’est une vie d’extrêmes. Une vie doucement joyeuse, une vie follement calme. »
Et vous, quelle est votre phrase ?
Relisez-là, à voix haute, elle est belle comme elle est. Parce que cette phrase s’est réalisée maintenant, de la façon la plus satisfaisante et harmonieuse qui soit, pour vous et pour le plus grand bien de tous.
La plupart du temps, nous avons toutes et tous des vies plutôt bien remplies, qui ne laissent que peu de temps à la contemplation ou à l’ennui. Il arrive même parfois (souvent ?) que nous soyons stressés, sans nous en rendre compte. On ressent ce poids au niveau des épaules, de la nuque, du dos. Oui, parfois on en a « plein le dos » !
Voici 2 étapes à essayer pour se relaxer en moins de 2 minutes :
1. Selon l’endroit où vous vous trouvez, essayer de reproduire l’une de ces postures, sans forcer, en respirant calmement :
2. Remettez-vous assis(e), le dos bien droit, mais détendu. Les mains sont posées sur les cuisses. Vous pouvez fermer les yeux.
Respirez lentement, doucement, par le nez uniquement
Prenez conscience de votre respiration, du mouvement de va-et-vient, lentement
Respirez-vous plutôt avec le ventre ou avec les pectoraux ?
Continuez de respirer lentement, doucement, par le nez
Quand vous inspirez, votre ventre se gonfle, doucement
Quand vous expirez, votre ventre se dégonfle, doucement
Faites 3 respirations complètes (inspiration + expiration) avec le ventre, calmement
Votre dos est toujours droit et détendu
Maintenant, inspirez doucement, toujours avec le ventre, et expirez lentement, toujours avec le ventre
Faites durer l’expiration (si possible 2 à 3 fois plus longue que l’inspiration)
Bonjour et bienvenue sur cette page dédiée à quelques expériences que nous allons essayer… Vous êtes prêt(e) ?
1. Lisez le texte suivant, dans votre tête ou à voix haute :
« Ils aperçurent sur le côté, sous des arcades, deux jeunes qui faisaient un numéro de jonglage, comme on en voit parfois. Ces deux jeunes n’avaient pas des boules de jonglage habituelles, mais des citrons. Ils jonglaient avec des citrons. Posée par terre, à côté d’eux, il y avait une cagette de citrons. Bien jaunes, bien brillants, vous voyez ?
Ils regardèrent deux minutes le petit spectacle de rue improvisé, plus attirés par la couleur des citrons, que par le numéro en lui-même qui était assez basique en fait. À la fin, les jeunes remercièrent les quelques personnes devant eux, puis au lieu de faire passer une casquette, ou un gobelet comme habituellement, l’un des deux prit un couteau, coupa un citron en deux, et en découpa une belle tranche. Il plia la tranche en deux au-dessus de sa bouche ouverte et en laissa couler le jus acide. Il fit une grimace très représentative, secoua la tête rapidement, et rigola.
Maintenant, il regarda le public, avec un petit sourire aux lèvres, et dit « ceux qui n’ont pas salivé en me regardant faire peuvent partir, les autres doivent nous donner une petite pièce, ou un ticket restaurant, ou ce que vous voulez qui vous fera plaisir ! Merci ! »
2. Maintenant, revenons à vos sensations : vous êtes-vous rendus compte que vous aviez salivé plus que la normale pendant que vous lisiez le 2ème paragraphe de cette histoire ?
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